Le titre de cette illustration se veut descriptif : il parle d’un homme qui avait aidé un serpent et qui ensuite le tua. Mais on ne nous dit pas comment s’appelle cet homme, ni, par conséquent, nous informe sur l’origine de l’histoire ; pour être un fait assez commun dans la littérature épique et non épique d’Arabie et de Perse, il est difficile de préciser les choses.
Comme le saint Georges qui tue le dragon dans l’iconographie chrétienne orientale, mais aussi comme le héros Esfandyar dans l’œuvre épique persane Shâh Nâmeh (Livre des rois), cet homme apparaît massacrant, avec une lance d’une incroyable finesse, un serpent à tête de dragon. Le reptile est également piétiné par le chameau, dans l’équipement duquel on note la présence d’une sonnaille, suspendue au cou de l’animal. Il y a un ruisseau au premier plan, et un paysage avec de hauts rochers escarpés et un arbre de grande taille bien au-delà des figures.
Le visage de l’homme qui tue le serpent est sans expression. Il est recouvert d’un turban qui lui entoure aussi la gorge, une coiffe typiquement ottomane au moyen de laquelle on a probablement voulu représenter quelqu’un appartenant à une tribu nomade et situer ainsi la scène en des temps anciens.
Le titre de cette illustration se veut descriptif : il parle d’un homme qui avait aidé un serpent et qui ensuite le tua. Mais on ne nous dit pas comment s’appelle cet homme, ni, par conséquent, nous informe sur l’origine de l’histoire ; pour être un fait assez commun dans la littérature épique et non épique d’Arabie et de Perse, il est difficile de préciser les choses.
Comme le saint Georges qui tue le dragon dans l’iconographie chrétienne orientale, mais aussi comme le héros Esfandyar dans l’œuvre épique persane Shâh Nâmeh (Livre des rois), cet homme apparaît massacrant, avec une lance d’une incroyable finesse, un serpent à tête de dragon. Le reptile est également piétiné par le chameau, dans l’équipement duquel on note la présence d’une sonnaille, suspendue au cou de l’animal. Il y a un ruisseau au premier plan, et un paysage avec de hauts rochers escarpés et un arbre de grande taille bien au-delà des figures.
Le visage de l’homme qui tue le serpent est sans expression. Il est recouvert d’un turban qui lui entoure aussi la gorge, une coiffe typiquement ottomane au moyen de laquelle on a probablement voulu représenter quelqu’un appartenant à une tribu nomade et situer ainsi la scène en des temps anciens.